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Compartiments d'imaginaires: récits

Résumé
Recueil de récits qui ont pour cadre le voyage en train et que Gil Pidoux a rassemblé sous le titre "Compartiments d'imaginaire".
Durée: 2h. 9min.
Édition: Lausanne, Ed. de l'Aire, 1992
Numéro du livre: 6669
ISBN: 9782881080920

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Durée:1h. 3min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:72595
Résumé: « Dans les moments creux, on dépose une poupée dans les bras de Mme Dumas. Une poupée aux yeux bleus avec de longs cils noirs. Ses paupières se ferment lorsqu’on l’allonge sur le dos. À mesure de la bercer et d’embrasser son crâne en plastique, elle se tranquillise. On dirait que sa seule présence l’aide à recouvrer une sorte de paix. " Que nous réserve le passé ?
Lu par:Madiana Roy
Durée:6h. 5min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:71243
Résumé: «Un matin, au début du mois d’octobre, je me souviens qu’il faisait très beau, nous avons été réveillés par le cliquetis des échafaudages et les cris des ouvriers. Des bruits de planches jetées les unes sur les autres, des grincements de vis, de crochets, des flottements de toiles nous ont tirés du sommeil. Quelque part dans la maison, un enfant s’est mis à pleurer. Et nous avons su ainsi que ça commençait… » À Lausanne depuis quelques années, les immeubles en restauration sont nombreux. Ils sont cachés derrière des toiles, des échafaudages. Quand on passe dans leur proximité, on entend le roulement des gravats dans les dévaloirs. Parfois ces maisons sont vides, parfois elles sont toujours habitées. Et je me suis souvent demandé comment les locataires vivaient dans le désordre et le fracas et comment ils côtoyaient les nombreux ouvriers, étrangers pour la plupart, qui, à l’exception des électriciens et des peintres, travaillent tous avec des outils bruyants. Jusqu’au jour où c’est autour de notre bâtiment que les échafaudages ont été posés.
Durée:2h. 36min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:73560
Résumé: Dans son récit Les Maîtres du vent, le chanteur, écrivain et défenseur de nobles causes, relate la croisade menée par les opposants pour tenter de saborder ce projet qui a divisé la population entre deux camps presque égaux. «Il s’agit là d’un texte partisan. Oui, j’utilise parfois des termes qu’on pourra juger excessifs. Je les assume.» Le narrateur annonce la couleur. C’est l’indignation, la colère, une infinie tristesse qui ont mobilisé sa prise de position et son coup de gueule.
Durée:41min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:12271
Résumé: "Jours rouges" n'est pas une biographie traditionnelle, mais un récit de mémoire, écrit à partir de la lacune documentaire. Il évoque le parcours d'un militant de base, dans les luttes sociales des années 1930 à 1950. Il s'agit en l'occurrence de mon grand-père, Paul Meizoz (1905-1988). Travailleur industriel en France, il y a été politisé en 1924. Avec ses amis, il tente de syndiquer les mineurs de la première Dixence, lutte contre les dérives soviétophiles du moment, s'implique en faveur des réseaux de combattants espagnols en 1936. Polémiste et animateur d'un "Cercle d'études sociales", il se lie à Jules Humbert-Droz retour d¹URSS, invite Léon Blum à s'exprimer dans le Valais de l'après-guerre.
Lu par:Jean Frey
Durée:3h. 48min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:20514
Résumé: A une époque où la figure de l'enseignant semble avoir perdu prestige et crédibilité, Fabio Pusterla - professeur de lycée et poètes parmi les plus reconnus de sa génération - a choisi de raconter ce métier en partant du bas, du quotidien, du rapport direct avec la classe et avec l'adolescent dans sa singularité. Entre récit, méditation et pamphlet, ce livre se propose d'offrir quelques pistes de réflexion pour ne pas oublier la valeur et le sens de l'école. Cette institution qui, malgré ses difficultés, constitue un bien commun indispensable, encore à même de produire ces " gouttes de splendeur " dont Fabrizio De André parlait dans une célèbre chanson.
Durée:4h. 50min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:19941
Résumé: Le personnage s'était comme évanoui dans la nuit, comme si son nom avait été rayé de la distribution des rôles. Sans l'état civil et un document irréfutable parvenu jusqu'à moi par miracle, ce Livret de service établi par le bureau de recrutement de la Légion étrangère, dont j'aurais à tirer quelques enseignements, chacun de ses descendants eût été en droit de douter de son existence en qualité de pater familias. Après tout, tant de braves ?lles furent engrossées par des enjôleurs sans nom. Donc ce Voisard-là fut bel et bien. Mais qui était-il, notre grand-père des oubliettes? Dans le ?ou de sa légende, je le vois, moi, Voisard dit «Quéquan» de la troisième génération, je le vois qui me fait signe de sa pauvre lanterne parmi les brumes où il est censé avoir disparu, ces bruines acides des souvenirs que les vivants repoussent comme des mouches. Je le suis dans sa nuit où ­l'étoile du Berger lui aura de tout temps fait faux bond.
Durée:54min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:19072
Résumé: Les Editions Zoé donnent aujourd'hui un reflet, dans la mesure où «La Légion étrangère» constitue un récit autobiographique. Glauser est né à Vienne en 1896. Il a fait partie des rares jeunes auteurs helvétiques à se frotter aux dadaïstes de Zurich. Le jeune homme est vite tombé dans la drogue, ce qui restait original à l'époque. D'où des larcins. Des emprisonnements. Des dépressions. Des tentatives de suicide. Un cycle infernal. Deux ans d'ennui. En 1921, Glauser entre à la Légion étrangère à Strasbourg. Le grand saut, ou ce qu'il croit tel. Il y passera deux ans. C'est la base d'un de ses romans, «Gourrama». «La Légion étrangère», qui restait inédit en français, en constitue l'envers biographique. Il n'y a rien là de sensationnel, alors même que la Légion faisait alors l'objet de multiples films d'aventures. La trame de ce livre très court, c'est l'ennui. Un ennui constant. Dispensé de marches pour raison de santé, l'Alémanique sera muté dans ce qu'on peut appeler l'administration. Il va y trafiquer sur les fournitures. On ne se refait pas. Glauser va parler des autres soldats, aussi dépourvus de pittoresque que lui. Son dernier chapitre s'intitule «Une fin peu romantique». Il se fait définitivement réformer. «On m'a démobilisé, avec cinq francs pour le voyage et un billet jusqu'à la frontière belge.» (http://www.tdg.ch)
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Durée:1h. 52min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:17201
Résumé:
Lu par:Madiana Roy
Durée:6h. 21min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:20339
Résumé: Dix ans que le journaliste suisse Arnaud Robert parcourt Haïti. Pour Le Monde, Le Temps, la Radio Télévision Suisse et nombre d'autres médias, il a couvert la chute de Jean-Bertrand Aristide, les mouvements artistiques, la politique ordinaire, les séquelles du séisme, le quotidien d'une île qu'il aime profondément. A la demande du Nouvelliste, le seul quotidien d'Haïti, il a commencé à publier en 2012 une série de chroniques, baptisées «Journal d'un Blanc». Elles sont les visions extérieures, les questions posées, la lecture des travers minuscules, des forces identitaires et des proses rimées qui agitent un pays réduit en général, par les médias internationaux, à ses catastrophes. A ce recueil, s'ajoute un long texte, Les Lustres, qui dresse le bilan d'une décennie de rencontres paradoxales, celles d'un Suisse en Haïti, et qui questionne au fond notre regard sur l'autre.
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Xochitl Borel publie L'Alphabet des anges, un récit poétique, qui prend parfois des allures de conte. Il raconte un drame, celui d'une enfant qui perd la vue et de sa mère qui ne sait que faire pour la soulager, mais laisse le premier rôle à la poésie, au verbe, à l'émerveillement.
Durée:6h. 53min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:20416
Résumé: Max vom Pokk, architecte newyorkais, tourmenté par d'anciennes amours, revient en France où il a rendez-vous avec son amie d'il y a quarante ans. Il ne l'a plus revue, bien qu'ils aient ensemble un fils, Mirafiori, dont il est sans nouvelles. Shizuko Tsutsui est née le jour où la bombe a détruit sa ville. Pour cette raison, elle est clouée sur un fauteuil roulant. Scientifique de haut niveau, elle est chargée de surveiller le démantèlement d'un surgénérateur nucléaire au bord du Rhône, à Malville. Elle aussi se prépare avec enthousiasme à retrouver le père de son fils. Mais ce jour-là, 11 mars 2011, à Fukushima, un tremblement de terre ravage la centrale dans laquelle Mirafiori, le fils de Max et Shizuko, travaille comme intérimaire. Il a passé neuf ans en prison et désormais la mafia contrôle sa vie. Cette catastrophe bouleverse les retrouvailles amoureuses. Shizuko est rappelée d'urgence au Japon. Max perd pied et, pris de remords, croit bon de jouer au héros qu'il n'est plus. Mirafiori est envoyé en mission suicide dans la salle de contrôle du réacteur en fusion...